Guy Delcourt charge (encore) Luc Dayan

« Je pense que ça remonte à bien avant cet été. Mon sentiment profond lié à cette crise, c’est que notre ami Gervais Martel est tellement attachant, tellement sympathique que l’on ne veut pas lui faire de mal même si on ne peut pas non plus accabler Martel parce qu’il n’est pas tout seul. Il y a aussi un conseil d’administration. Après, j’ai toujours été un peu surpris qu’il n’ait pas mené davantage d’investigations sur Mammadov. Je crois qu’en raison de son amitié sincère et forte pour Gervais Martel, il a voulu lui laisser une chance de revenir. Je ne suis pas sûr que M. Dayan ait cherché des repreneurs tant que ça. Ça, c’est mon intime conviction. »

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