Baptiste Guillaume : « Raphaël Varane reste un exemple pour moi »

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Baptiste Guillaume confie à But! Lens la flatteuse comparaison Raphaël Varane enc e qui concerne son parcours au sein de la Gaillette. Le jeune attaquant aborde également la concurrence dans le secteur offensif avec les arrivées de Ljuboja et Chavarria, ainsi que  la signature de son contrat professionnel.

Comme Varane, vous avez enchaîné équipe première et bac !

« Oui d'une certaine manière. On a comparé ma progression à la sienne. À la différence que lui est au Real Madrid et que je suis à Lens ! Raphaël reste un exemple pour moi. Je sais ce qu'il me reste à faire : travailler, travailler, travailler. Mais pourquoi ne pas suivre le même chemin plus tard ? »

Des attaquants comme Ljuboja et Chavarria sont arrivés : la concurrence va être féroce !

« Cela me semble évident. J'ai discuté avec les dirigeants : ils m'ont dit qu'à Lens il y avait de n°2 et qu'ils allaient recruter des n°1. Ils m'ont dit que je suis jeune, que je n'aurais pas forcément une place de titulaire mais qu'en poussant ceux qui jouent, j'aiderais à mettre en place une émulation pour une belle concurrence. Ce discours me plaît. J'aime travailler à l'entraînement. J'espère m'entraîner avec les pros la semaine, jouer en CFA le week end ou faire des bancs. J'ai déjà vécu cette situation en fin de saison dernière. Cela s'est bien passé. Je sais que j'ai également du temps devant moi. Nous verrons au jour le jour ce que cela donnera. Je serais la concurrence pour les attaquants. »

Qu'en est-il de la signature d'un nouveau contrat ?

« C'est fait ! J'ai tremblé quand j'ai signé ! J'ai eu le président au téléphone juste après. J'étais content de cette marque de confiance et de cette sécurité qui m'est accordée pour les trois prochaines saisons. Ce contrat, c'est du bonheur, du soulagement, l'accomplissement d'un travail. Mes parents étaient très contents pour moi et très fiers de la confiance du club. Il y a quatre ans, quand je suis venu à Lens, ils avaient eu un peu peur. Ils savaient qu'une blessure peut tout remettre en cause. »


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