Faure : « Le travail foncier a été réduit »
Arrivé dans les bagages de Jean-Louis Garcia, Pascal Faure, le préparateur physique du Racing, évoque ce long travail d'avant-saison dans Nord-Eclair.
Comment s'est déroulée votre intégration ?
C'est l'avantage d'être arrivé avec trois personnes que l'on connaît déjà. On met moins de temps à avoir des repères, pour prendre des habitudes de travail. On s'adapte simplement au club, aux structures. Ensuite, on connaît déjà les demandes du coach. On n'a pas besoin de s'adapter à l'autre. On va de suite à l'essentiel. Ce qui ne veut pas dire que nous restons dans une routine, on évolue dans la manière d'animer des séances, d'apporter des exercices.
Le jeu prôné par Jean-Louis Garcia induit-il un travail physique particulier ?
Il s'attache énormément à la bonne utilisation du ballon, à sa maîtrise. Les joueurs sont plus axés sur la vitesse, la vivacité. On veut utiliser le ballon, être disponible pour le porteur de balle, il faut une orientation physique plus spécifique.
Ce qui n'a pas empêché un travail foncier plus lourd à la reprise ?
C'est une obligation. Mais cette année, par rapport aux années précédentes, le travail foncier a été réduit car la préparation était très courte, trois semaines. Forcément nous sommes allés plus vite sur toutes les étapes. D'où l'intérêt des trêves internationales que nous allons utiliser pour réajuster l'état physique de chaque joueur : développement de l'explosivité, de la puissance, de la récupération...
Le travail reste différencié ?
Au départ, il y a une base commune. Petit à petit, le travail va être plus spécifique, à chaque poste, adapté au temps de jeu, aux caractéristiques propres du joueur (l'âge, le poste, le nombre de saisons au haut niveau...). Nous établissons une carte d'identité physiologique pour chaque joueur.
Le jeu prôné par Jean-Louis Garcia induit-il un travail physique particulier ?
Il s'attache énormément à la bonne utilisation du ballon, à sa maîtrise. Les joueurs sont plus axés sur la vitesse, la vivacité. On veut utiliser le ballon, être disponible pour le porteur de balle, il faut une orientation physique plus spécifique.
Ce qui n'a pas empêché un travail foncier plus lourd à la reprise ?
C'est une obligation. Mais cette année, par rapport aux années précédentes, le travail foncier a été réduit car la préparation était très courte, trois semaines. Forcément nous sommes allés plus vite sur toutes les étapes. D'où l'intérêt des trêves internationales que nous allons utiliser pour réajuster l'état physique de chaque joueur : développement de l'explosivité, de la puissance, de la récupération...
Le travail reste différencié ?
Au départ, il y a une base commune. Petit à petit, le travail va être plus spécifique, à chaque poste, adapté au temps de jeu, aux caractéristiques propres du joueur (l'âge, le poste, le nombre de saisons au haut niveau...). Nous établissons une carte d'identité physiologique pour chaque joueur.
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