Hermach : « C'est dur à vivre »
En conférence de presse hier, le milieu lensois est revenu sur sa longue indisponibilité et sur la situation du Racing.
Sur sa blessure et la phase de reprise : « Collectivement, c'est dur à vivre. Individuellement, c'est plus dur. Tu ne sers à rien. Tu viens aux soins, tu fais du vélo et voilà, tu as fini ta journée. »
La situation du Racing : « Si on ressent du fatalisme ? Oui. C'est un peu normal. On est avant-derniers, on ne gagne plus chez nous. Mais il n'y a pas encore de forme de résignation. Il n'y en aura pas tant qu'il y aura de l'espoir et que, mathématiquement, on pourra se maintenir. L'espoir est là parce qu'on n'est pas à la rue et que les autres n'avancent pas forcément beaucoup »
Les faits divers du vestiaires : « On voit bien que des faits divers, il y en a dans tous les clubs. Notre problème, c'est qu'on les répète trop souvent et qu'ils sont surtout trop souvent dans la presse. Ce qui me dérange, c'est ça »
Son rôle dans le groupe : « Je ne suis pas un révolutionnaire. Je suis dans mon coin. Je donne mon avis non pas quand on me le demande, mais quand j'ai envie de le donner. Il y en a qui sont là, Vedran (Runje), Yohan (Démont), Ala-Eddine (Yahia) ou Francky (Queudrue), pour dire les choses et crier sur les autres. Moi, je suis plus un homme de terrain qu'un homme de vestiaire »
Source : Nord-Eclair
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