Dayan et les anciens Lillois à la tête de la formation lensoise

Interrogé sur le site officiel du Racing au sujet de Pascal Plancque et Jean-Claude Nadon (et Antoine Sibierski), le président lensois indique que ce n'est pas une volonté de recruter des anciens Lillois au sein du Racing.

Il y a, en revanche, du nouveau concernant la formation avec les recrutement de Pascal Plancque et Jean-Claude Nadon...
Il fallait remplacer les personnes qui sont parties, remettre en place une organisation. Il s'agit de choix à court et moyen termes car il faut intégrer la démarche de l'actionnaire qui souhaite transmettre le contrôle majoritaire... dans un délai qui reste à définir.

Nombre de personnes recrutées sont passées par le LOSC. Est-ce une simple coïncidence ou la volonté d'avoir des gens qui ont travaillé dans la région ?
Honnêtement, à part Antoine [Sibierski], je n'ai fait aucun choix. Non, je ne pense pas qu'il y ait un volonté stratégique derrière cela. Ce sont les circonstances... Comme je l'avais dit à mon arrivée, j'ai discuté de cette dualité « Lens-Lille » avec M. Percheron [Président du Conseil régional], et il m'a dit que j'étais le seul à avoir été président dans les deux clubs, et qu'il n'aurait pas pensé, un jour, voir ça. Mais les relations entre Lens et Lille, depuis une dizaine d'années, ont toujours été excellentes en ce qui me concerne. On a beaucoup échangé sur cela, notamment avec les supporters : on peut être rivaux sur le terrain, et trouver des ponts entre les clubs sans que ce soit vu comme une trahison ou une quelconque volonté stratégique.


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