Abdelrafik Gérard : « On a été suffisants »
« Je pense que l’on a été suffisants parce que, quand on sent un moment donné que l’équipe adverse, on ne va pas dire "ne met pas grand chose", mais il n’y a pas vraiment une grosse opposition. On a tendance un peu à se relâcher et, en fait, c’est là où c’est le plus dur car il faut rester haut dans ces exigences. C’est ce qu’il y a du plus dur en fait. Quand l’équipe adverse est au même niveau, l’exigence vient toute seule. Quand elle est un peu plus faible, on baisse de rythme. »
Source : Sang et Or Le Mag (propos transcrits par Cyrille pour MadeInLens)
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