Guillaume Warmuz : « Une émotion extrême qu’on ne peut pas décrire »
A 3h du matin, ce sont 30 000 supporters qui garnissent les tribunes du stade Bollaert-Delelis pour fêter leurs joueurs, leurs champions.
Gardien de cette équipe magique, Guillaume Warmuz revient pour Sport Magazine sur cette soirée et sur l'émotion intense ressentie par l'ensemble du groupe lensois.
« Je pense instinctivement à notre arrivée à l’aéroport » « On avait hâte de voir comment ça allait se passer parce qu’on savait qu’on allait être attendus. Au final, le club a été obligé d’ouvrir le stade pour fêter ça, si ce ne sont pas les portes qui ont été forcées ! » « C’est une émotion extrême qu’on ne peut pas décrire. Généralement, elle dure 24, voire 48 heures, mais celle-là, on voudrait la garder pour toujours. »
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