Reprise pour les U19

Ce lundi sonnait l'heure de la reprise de l'entraînement pour les U19 qui seront, cette année, coachés par Mickaël Delestrez. Sur le site officiel du Racing, ce dernier se livre sur cette rentrée.

Mickaël, nouvelle saison, nouvelle équipe…
On monte d’une catégorie mais c’est la même équipe des C.N.U 17 de la saison dernière. J’ai l’opportunité de pouvoir continuer avec le même groupe depuis quatre ans ! Le problème est que, d’un côté comme de l’autre, que ce soient les joueurs ou moi, il faut que l’on prenne ça comme un avantage. Il faut faire très attention à ne pas s’endormir et à ne pas tomber dans l’affectif et la lassitude. Je dois faire attention à diversifier en permanence mes séances et à ne pas toujours avoir les mêmes modes de communication. Quant aux joueurs, ils doivent être capables, même si c’est toujours la même personne en face d’eux, de remettre les compteurs à zéro en ce début de saison, et de se dire que l’exigence que je vais avoir vis-à-vis d’eux, sera une exigence calquée sur la difficulté de la catégorie des U19 et non plus sur celle des U17.

Vous avez repris ce matin. Quel était le programme de la journée ?
Ce matin, c’était simplement une reprise de contact : prendre les paquetages et les équipements. On a fait un petit footing, avec du gainage et du renforcement musculaire. Et, cet après-midi, les garçons ont repris le ballon.

Comment se sont passées ses retrouvailles ?
Bien, elles se passent toujours bien. C’est une période que l’on apprécie, nous entraîneurs, car on a les joueurs en permanence avec nous, et on a quasiment la possibilité de doubler les entraînements de manière journalière. Les garçons vivent un peu comme les pros car ils s’entraînent, font la sieste, récupèrent, s’entraînent à nouveau, et vont en salle de soins… L’aspect scolaire, qui sera très important à partir de septembre, ne rentre pas en ligne de compte. Pendant la préparation, ils doivent se concentrer sur le football, prendre soin d’eux, et être les plus performants possible sur le terrain.


Commenter cette actualité (...)