Hilton, Bédimo et Utaka ont rassuré Koïta

Pour le site officiel du Racing, l'attaquant évoque les influences qu'ont pu avoir Louis Nicollin pour son prêt, mais aussi et surtout les anciens Lensois (Bédimo, Hilton et Utaka) qui évoluent dans l'Hérault.

Penses-tu que Louis Nicollin a eu une influence dans ton arrivée quand on connaît sa profonde amitié pour le Racing et pour Gervais Martel ?
Non, je ne pense pas car c'est moi le joueur, et c'est moi qui décide où je vais jouer aujourd'hui. C'était mon souhait de choisir le RC Lens. Après, j'ai eu une discussion avec René Girard. Ce n'est pas Louis Nicollin qui a changé quoi que ce soit. Il était en vacances d'ailleurs [rire]. J'ai aussi parlé avec tous les entraineurs qui m'ont approché. Si cela n'avait pas été Lens, cela aurait été Boulogne car j'ai vraiment apprécié le discours des deux coachs. Mais quand le staff et les dirigeants lensois ont montré tout l'intérêt qu'ils éprouvaient pour moi, je n'ai pas hésité.

[...] As-tu parlé de Lens avec Henri Bédimo ?
[Sourire] Oui. D'ailleurs, je n'en ai pas parlé qu'à Henri. Le soir où le Président Gervais Martel m'a appelé, nous étions trois dans la chambre, Vito Hilton, Henri et moi, en train de préparer le match contre Nice. Ils m'ont tout de suite rassuré car moi, j'ai été formé à Montpellier. Cela fait huit ans que je suis là-bas, et c'est un peu difficile de quitter mon club de formation, un club qui m'a tout donné. Donc, j'étais un peu réticent, et il fallait que je sois rassuré aussi. J'ai eu aussi John Utaka au téléphone qui m'a parlé avant de partir, et il m'a dit que je ne devais pas m'en faire parce que le club est super bien structuré, et le président est très gentil. Cela m'a tout de suite mis à l'aise. John était un peu comme mon mentor. C'était un exemple pour moi avec tout ce qu'il a fait dans le championnat de France, et la carrière qu'il a pu faire. Il m'a donné pas mal de conseils, et je suis très reconnaissant vis-à-vis de lui.


Commenter cette actualité (...)