Martel et les métaphores cyclistes

Dans La Voix du Nord, Gervais Martel se livre à une comparaison avec le cyclisme pour résumer son avis sur la situation lensoise.

Auxerre est-il le match de la dernière chance ?
« Non. Quoi qu'il arrive, on aura encore ensuite notre destin en main, il nous suffira de gagner tous nos matchs. On va jouer des concurrents directs, Arles et des équipes qui n'ont plus rien à espérer. Et puis, nous sommes habitués à notre situation. Quand tu as cinq minutes d'avance sur le peloton à un moment de la course et qu'à l'approche du dernier kilomètre tu n'as plus que dix secondes, ce ne sont pas ceux qui sont derrière qui ont le plus la pression ! »

Et qu'en est-il pour ceux qui, comme le Racing, sont décrochés derrière le peloton ?

Thomas


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