Lens - Lorient, d'autres réactions de Lensois
Gervais Martel, Laszlo Bölöni, Alaeddine Yahia et Henri Bedimo confient leur déception à l'issue du match Lens - Lorient. Cette fois, les discours ne sont plus teintés d'optimisme...
Gervais Martel : « Le droit à l'erreur est désormais inexistant » pour Lens qui « devrait faire un 100 % d'ici à la fin du Championnat. »
Laszlo Bölöni : « C'est presque sans espoir. Pour faire quelque chose, il faudrait réaliser un miracle. Et je ne sais pas si on en est capable. »
Alaeddine Yahia : « C'est une saison noire. Ce soir, c'est une catastrophe, déclare en préambule le Tunisien. On avait encore un infime espoir en cas de victoire. Maintenant, je pense qu'il faudrait un cataclysme pour qu'on se sauve. Il faut arrêter de rêver. J'aimerais vous dire que j'y crois, mais ça fait longtemps que j'ai arrêté de croire au Père Noël. On va au moins essayer de finir la tête haute. »
Henri Bedimo : « On est tristes ce soir. C'est le résumé de notre saison. On essaye de développer du jeu, on met du coeur, mais ça ne sourit pas. Sur le terrain on avait l'impression de maîtriser le sujet. Lorient avait le ballon, le faisait tourner, mais sans être dangereux. Cette défaite, c'est un peu le fruit de notre immaturité. Dans notre situation, il faut faire preuve de méchanceté pour défendre notre bifteck. On prend deux fois le même but... Ce soir, à dix minutes près, on avait fait un gros coup face à une des bonnes équipes du championnat. (...) L'étau se resserre. Je sais que demain les gros titres seront ''Lens y est''. »
L'Equipe.fr
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